Expo Photo « 11 mois, 11 photographes » au Cactus en mai 2024

Expo photo dans le cadre de

« 11 mois, 11 photographes »

présente

Sans être là

Cette sélection est un travail de portraits intimistes et documentaires de mon entourage proche.

Une série qui a pour sujet d’intenses moments d’absence, une émotion intérieure forte.

Un regard souvent déconnecté de la situation présente, laissant libre court à l’interprétation.

C’est un « travail » inconscient dans le sens où je n’ai pas cherché à saisir ces instants en particulier, 

mais j’ai constaté en parcourant mes images ces dernières années que ce thème était devenu récurrent.

                                      13 boulevard Lascrosses  TOULOUSE

VERNISSAGE :

Jeudi 2 mai

à partir de 19 h

Entrée libre et tout public

Tous nos concerts du dimanche sont gratuits, débutent à 19h30 et se terminent à 22h.

dimanche 28 avril : De la mancha ( rumba flamenca…)

Expo Photo « 11 mois, 11 photographes » au Cactus en avril 2024

Expo photo dans le cadre de

« 11 mois, 11 photographes »

présente

Aussi loin que je me souvienne, photographe, j’ai toujours détesté les grues. 

Omniprésentes dans tout paysage urbain, elles ponctuaient l’horizon par leur forme incongrue, disgracieuse, par leurs couleurs criardes, semblant se moquer du traqueur d’images : « Tu nous as vues? On va te gâcher le paysage; on ne verra ni les arbres, ni les bâtiments, ni le ciel, ni le relief, on ne verra que nous : métalliques, jaunes, rouillées, oranges, rachitiques, sales»

L’opportunité de grimper pour prendre des photos depuis la cabine s’est un jour présentée à moi. Tétanisé par la montée de l’équivalent de quinze étages par des échelons glacés, trempés, soumis au vent, je compris que j’avais affaire à un adversaire qui ne comptait pas m’épargner…

                                      13 boulevard Lascrosses  TOULOUSE

VERNISSAGE :

Jeudi 4 avril

à partir de 19 h

Entrée libre et tout public

Tous nos concerts du dimanche sont gratuits, débutent à 19h30 et se terminent à 22h.

dimanche 31 mars : LES FIGUES DE BARBARIE ( rhyhtm’n blues)

dimanche 7 avril : Peter Cayla et Pomp it up ( blues rock)

dimanche 14 avril : Oréa ( chants et mélodies vagabondes)

dimanche 21 avril : Bernardo Sandoval et Serge Lopez (flamenco)

dimanche 28 avril : De la mancha ( rumba flamenca…)

Expo Photo « 11 mois, 11 photographes » au Cactus en mars 2024

Expo photo dans le cadre de

« 11 mois, 11 photographes »

présente

« Va voir si c’est loin » est telle une expression populaire, une injonction mêlée d’ironie, presque un défi. Dans une société où la tendance est de déconsidérer le quotidien pour mieux nous vendre un ailleurs soi-
disant plus ensoleillé, plus prometteur, j’ai souhaité porter mon regard vers le près. Cette exposition a pour vocation de célébrer nos proches de tous les jours, d’inviter à repenser nos entourages, ceux des soirées 

glacées d’hiver qui sont les mêmes que ceux des discussions dans les parcs au printemps. Elle se veut être une ode simple aux amitiés avec qui on rit, on pleure, avec lesquelles on partage. Elle est aussi de ce fait 
un hommage à mes voisins de vie, à la beauté des altérités.Venez donc voir si c’est loin !  

                                      13 boulevard Lascrosses  TOULOUSE

VERNISSAGE :

Jeudi 7 mars

à partir de 19 h

Entrée libre et tout public

Tous nos concerts du dimanche sont gratuits, débutent à 19h30 et se terminent à 22h.

dimanche 3 mars : DARTFORD STATION (pop rock)

dimanche 10 mars : HILTON JOHN (road movie)

dimanche 17 mars : LITTLE BIG OUED ( blues rock)

dimanche 24 mars ; JULIAN THE DRIFTER (deep river blues)

dimanche 31 mars : LES FIGUES DE BARBARIE ( rhyhtm’n blues)

Expo Photo « 11 mois, 11 photographes » au Cactus en Février 2024

Expo photo dans le cadre de

« 11 mois, 11 photographes »

présente

Photographies prises en mars 2013 avec le collectif Vertige. Certaines font partie du livre et de l’exposition « Liverpool » de la collection « Au-delà des frontières ».

L’intention ? Aucune.  Pas de plan, pas d’objectif si ce n’est celui de mon appareil photo. 

Aller où bon me semble, suivre qui je veux, aucune contrainte, c’est ce qui rend ces voyages fabuleux. 

Ce que je retiens de Liverpool : les gens, leur accueil, leur disponibilité.  

Bar Brasserie Le Cactus                  

                                      13 boulevard Lascrosses  TOULOUSE

VERNISSAGE :

Jeudi 8 février

à partir de 19 h

Entrée libre et tout public

Tous nos concerts du dimanche sont gratuits, débutent à 19h30 et se terminent à 22h.

dimanche 21 janvier : DANGER ZOO (indie punk rock)

dimanche 28 janvier : ZEBRES ( pop rock)

dimanche 4 février : TURBO NIGLO (jazz manouche)

dimanche 11 février : MAFIA MATOU (tropical dub)

dimanche 18 février : POX (rock)

dimanche 25 février : VAL et JEAN (musique festive)

dimanche 3 mars : DARTFORD STATION (pop rock)

EXPO PHOTO DEFIE-LES de MODE

Il y a fort à parier que le public non averti ne devinera jamais ce qui se trame derrière ces images : qui croirait que les modèles qui posent avec assurance sur les photos de la prochaine exposition « Défie-Les » ne sont autres que les mannequins des deux premiers défilés be. Happy : des femmes et des hommes en traitement pour un cancer, accompagnés de leurs aidants.

Nous vous invitons à partager ces instants magiques, immortalisés par Joël Arpaillange Photographe auteur et le Collectif Vertige.

Nous vous attendons pour de belles rencontres. L’entrée est gratuite, une urne sera à votre disposition pour les dons 🙏

Mannequins et soignants effectueront des permanences les samedis et dimanches. Vous venez ?

Un article dans la Dépêche du Midi: Gourdon. « La Porte du voyage sans retour » à Délicatessens

Ce 28 décembre, l’édition du Lot de La Dépêche du Midi relate mon exposition « La porte du voyage sans retour » à la Galerie du restaurant Délicatessens de Gourdon. Merci à Patrick Leleu.

https://www.ladepeche.fr/2023/12/28/la-porte-du-voyage-sans-retour-a-delicatessens-11666651.php

Gorée le rideau

Si vous voulez en savoir davantage sur l’exposition: https://arpaphoto.wordpress.com/aux-quatre-vents-de-goree/

C’est certainement un des lieux le plus chargé d’histoire de toute la côte ouest-africaine. Pris et repris une quinzaine de fois, l’ilot a vu se succéder les Portugais, les Hollandais (D’ailleurs, le nom de Gorée est d’origine néerlandaise : Goed Read : la bonne rade), les Anglais et les Français du XV° au XIX° siècle. Cette île qui a été un haut lieu de l’exploitation de l’homme par l’homme est devenue aujourd’hui un sanctuaire pour la réconciliation entre les peuples.

J’ai pris ces photos entre 1978 et 1986, lorsque j’étais en poste à Dakar. Cette période a été le point de départ de la reconnaissance de Gorée comme symbole emblématique de la mémoire de la traite négrière atlantique, car elle a été un grand centre de commerce d’esclaves de la côte ouest africaine. Le site a été mis sur la liste du patrimoine mondial en 1978, et un projet de mémorial a été lancé sous l’égide de l’UNESCO avec une campagne internationale de sauvegarde. J’ai voulu à travers mes photos garder une trace de l’ambiance dans les ruelles de l’ile, au moment de cette prise de conscience. Tout parlait encore de ce passé de luttes et on était saisi par le charme nostalgique qui émanait de ce décor de ville coloniale du XVIII° siècle. De nombreuses ruines accentuaient cette impression : comme celles de maisons de maitres, des canons oubliés et des vestiges de forts et de palais à arcades. Malgré tout de nombreuses familles de goréens vivaient dans l’ile, ce qui constituait un contraste frappant entre la vie présente et le délabrement ambiant.

Elle était un entrepôt à captifs et un des pôles du trafic triangulaire Europe-Afrique-Amériques. Les échanges se faisaient sur la base du troc. L’Afrique livrant les produits précieux (or, ivoire, gomme, peaux et surtout des hommes) contre des produits dérisoires (vieilles nippes, verroteries et pacotilles) et souvent nuisibles (eau de vie et armes usagées). Des Amériques se rapportaient sucre, rhum, café, cacao, coton, tabac… Les historiens estiment qu’en moyenne, les bénéfices des expéditions de traite étaient compris entre 15% et 20%. La traite a contribué à l’essor économique des ports (en France Nantes, Le Havre, La Rochelle, Bordeaux…), et plus largement des pays qui pratiquaient le commerce d’êtres humains (Angleterre, Portugal, France…).

La « Maison des esclaves » est un édifice historique situé sur l’île de Gorée qui daterait de l’année 1776. Elle revêt une grande portée symbolique en tant qu’emblème de la traite négrière. Cette maison aurait été la dernière esclaverie en date à Gorée. La première remonterait à 1536, construite par les Portugais, premiers Européens à fouler le sol de l’île en 1444. L’effectif dans cette petite maison variait de 150 à 200 esclaves. L’attente de départ durait parfois près de trois mois. Dans cette maison, le père, la mère et l’enfant étaient séparés dans différentes cellules. Une ouverture lumineuse s’ouvre au milieu du couloir central. Donnant de plain-pied sur la côte rocheuse, c’est la porte dite du « voyage sans retour », là où pense-t-on savoir, les esclaves embarquaient pour une vie de souffrances dans le Nouveau Monde.

Cette île, aujourd’hui, est devenue un foyer de contact entre l’Occident et l’Afrique et un espace d’échanges et de dialogue des cultures. L’île abrite de nombreuses résidences secondaires, mais aussi des bâtiments historiques appartenant à l’état Sénégalais qui attendent une restauration. Avec le Mémorial de l’abolition de l’esclavage à Nantes elle fait partie des 18 lieux de Commémoration de cette abolition dans le monde.

En bonus qq vidéos:

  • 01 Film Ile de Gorée AFRICA  Histoire Eloi Coly (16 min 37)

https://www.viaouest.com/YTdata-KncFD11n9gA.html

  • 02 Gorée la porte du voyage sans retour Joseph Ndiaye (4 min 42 )
  • 03 Gorée, île des signares 1994 (27 minutes)

Mon exposition « La porte du voyage sans retour » à la Galerie du restaurant DELICATESSENS Gourdon

Si vous allez satisfaire vos papilles au restaurant gastronomique DELICATESSENS à Gourdon, n’oubliez pas de quitter du regard votre assiette pour le porter sur les murs où sont accrochées mes photos de l’exposition « La porte du voyage sans retour ».

L’exposition reste en place jusqu’au 29 février 2024.

Si vous voulez en savoir plus sur l’exposition: https://arpaphoto.wordpress.com/aux-quatre-vents-de-goree/

Expo Photo « 11 mois, 11 photographes » au Cactus en Janvier 2024

Expo photo dans le cadre de

« 11 mois, 11 photographes »

Amélie Boyer

présente

 En 2017, la photographe Amélie Boyer part faire un « roadtrip » en Asie du Sud-Est. Elle arpente le Cambodge pour découvrir la culture khmère et s’imprègne de l’atmosphère, à la fois paisible et rapide, qui s’y dégage durant la saison des pluies. Fascinée par cette multitude de reflets, elle capture le rythme de vie des habitants à travers l’eau. Son travail photographique invite à questionner son propre regard sur une culture étrangère et donne l’illusion d’être transporté entre le rêve et la réalité.

Bar Brasserie Le Cactus                  

                                      13 boulevard Lascrosses  TOULOUSE

VERNISSAGE : Jeudi 4 janvier à partir de 19 h

Entrée libre et tout public

Tous nos concerts du dimanche sont gratuits, débutent à 19h30 et se terminent à 22h.

dimanche 7 janvier : VOICE OF STONE (pop rock covers)

dimanche 14 janvier : JEZZ ZIMA ( blues)

dimanche 21 janvier : DANGER ZOO (indie punk rock)

dimanche 28 janvier : ZEBRES ( pop rock)

Salon du Livre de Flourens le 3 décembre

le Salon du Livre

accueillera 21 autrices et auteurs, sur le thème des

Toute la journée auront lieu des tables rondes animées par Jean Antoine Loiseau. (Voyez le programme ci-dessous)

Mireille Picaudou-Arpaillange participera à la table ronde de 16h30 à 17h30: « Se construire, se découvrir, se redécouvrir »; avec son dernier roman « Ultime espérance ».

Expo Photo « 11 mois, 11 photographes » au Cactus en décembre 2023

Expo photo dans le cadre de

« 11 mois, 11 photographes »

« Onze mois, onze photographes »

 le Cactus est à l’honneur !

Les onze photographes sélectionné (e) s en 2023 seront présent(e)s et exposeront onze photos en hommage au Cactus.

LE CACTUS n’était pas le genre de bar à figurer dans les guides.

Il n’avait pas plus de 100 ans d’existence, comme chez Authié.

Il n’était pas situé sur l’une des places plus remuantes de la ville, comme le bar Basque et il n’accueillait pas les célébrités, comme l’Ubu Club.

Il ne possédait pas non la dignité agressive des cafés qui clament haut et fort leur ambition d’être le dernier lieu à la mode. Ni l’atmosphère compassée des brasseries historiques de la place Wilson. Il était en apparence rigoureusement identiques des centaines d’autres bars

                  -mais les apparences sont trompeuses

                       pour les bars comme pour les gens.

Le cactus possédait bien plus que cela: une clientèle de fidèles 

qui avaient choisi d’être là comme des chats décident d’habiter quelque part.

Et une légende… Bâtie par le précédent propriétaire, homme intrépide qui recevait- et virait- qui il voulait de son établissement à toute heure du jour et de la nuit: putes, travelos, voyous- et des flics. Dans un quartier pas forcement amoureux du bleu.

À sa mort, il avait légué le bar et sa légende à son employée et depuis, la « patronne »- qui écrivait des poésies à ses heures – menait la barque d’une main ferme et douce sachant que ceux qui embarquaient le faisaient aussi pour elle.

                          N’ETEINS PAS LA LUMIÈRE Bernard Minier

                                     XO ÉDITIONS   p188- 189

Bar Brasserie Le Cactus                  

                                      13 boulevard Lascrosses  TOULOUSE

VERNISSAGE : Jeudi 7 décembre à partir de 19 h

Entrée libre et tout public

Tous nos concerts du dimanche sont gratuits, débutent à 19h30 et se terminent à 22h.

Dimanche 3 décembre NOTA BENE 4 musiciens qui revisitent les standards de soul, pop et rock’n

Dimanche 10 décembre : BEAVERS ( bluegrass…)

Dimanche 17 décembre : MARCEL DORSEL et son orchestre de merde (chansons à rire)

dimanche 7 janvier : VOICE OF STONE (pop rock covers)

dimanche 14 janvier : JEZZ ZIMA ( blues)

dimanche 21 janvier : DANGER ZOO (indie punk rock)

dimanche 28 janvier : ZEBRES ( pop rock)